La pierre écrase en silence les écrits hurlants les dires éphémères La longue marche a commencé sur les routes fuligineuses le long des corridors mornes Que tu sois sombre ou blafard ton chemin s’endiguera ou pas ainsi va le monde des traces sur l’échiquier désaxé des choix Seul Toujours A regarder passer le convoi des oubliés Pendant que du haut des Olympes ridicules les satrapes décrètent l’incendie Mais nous brûlerons tous en enfer |